La caravane <Kaerverk>

Fessant partis d'une petite tribu orque vivant au pied de la montagne de feu, je sortis de ma hutte et je me baladais dans une clairière pour surveiller le convoi orc de nomades, qui ne comportait pratiquement que des vieillards, revenant sur la route pour nous amener des nouvelles des autres tribu. En scrutant l'horizon je remarquais que le convoi été encore
loin de moi. Il fessait beau et le soleil tapait dur. Je me mis à l'ombre d'un arbre et j'en profiter ainsi pour me reposer un peu.

Alors que tu te reposes allongé dans l'herbe sèche et protégé par le feuillage de l'arbre, la caravane approche. Tu peux désormais l'apercevoir plus en détail : Elle est composée de 5 attelages tirés par 2 buffles chacune. Il y a une trentaines d'orcs qui s'attardent a faire avancer les attelages et à porter des gros sacs de nourriture. Alors que la caravane est composée essentiellement de vieillards, trois guerriers ce distingue des autres par leur carrure. L'un de, assez jeune, est en tête de la caravane sur son cheval.
Alors que tu attends patiemment l'arrivée des nomades et que la caravane arrive a quelque mètre de toi, tu entends un cris de guerre venant de l'autre coté de la vallée. Après une courte analyse de la situation, tu aperçois trois nains qui charge la caravane armé de prestigieuse hache qu'ils brandissent au dessus de leur tête.

il faisait chaud, mais heureusement que les orcs sont fait du roc le plus fort et peuvent résister a toute chaleur et a tous les petits gnomes comme les nains.
sentant et entendant donc ces sales nabots qu'étaient les nains,qui soit dit en passant puaient la charogne, je compris tout de suite leurs intentions, je pris le temps de reprendre mes armes et de dégainer mais pas de les laisser surprendre les autres,je criait donc en dialecte tout à fait compréhensible

"gluck alerte yunda gundo warggg nabot gluck yson toa gluck gluck"

je courus vers eux le plus vite possibles dans l'espoir de les empêcher de toucher à la caravane.


ps: pour ceux qui n'auraient pas pris l'option langue vivante orcs ou langue bourrer renforcer au BAC ou encore qui n'auraient pas acheter de live box avec un décodeur de langue chaotique qui ne marche pas, la traduction du dialecte est exactement:

" oula,c'est la merde attention les gars, il y a une troupe de petites gens, nains vraisemblablement, qui approche de la caravane, a vue d'œil ils sont trois" (ceci est une version litterraire pour plus d'information sur la version exacte qui est plus courte veuillez contacter:
_soit votre service après vente pour vous faire rembourser de votre décodeur qui marche pas
_soit contacter moi par mp ou sur msn ou par téléphone * (mais attention c pas gratuit si vous avec la live box qui ne marche pas)

* que si vous l'avez

Les trois guerriers, avertis par le cris de guerre des nain et les tiens, se retournèrent pour faire face aux guerriers nains qui dévalaient la valais à une vitesse folle. Les deux guerriers à terres dégainèrent respectivement un marteaux Lourd et une masse d'arme légère. Le troisième cabra sa monture, tira son épée et cria :

_"Tout le monde derrière nous ! Gerrac, Voibur attendez le dernier moment pour passer a l'assaut.

_Bien chef !" répondit les deux guerriers.

Alors qu'il ne te restes que quelques mètres à parcourir pour arriver a la caravane(Test R/R : marge d'échec 4.) , tu peux voire les 3 nain arriver au combats : Le premier coups de haches et magnifiquement bien paré avec le manche du marteau de Gerrac (Test CC : Double réussites critiques : marge de réussite de 3. Le deuxième coups finit dans la poitrine de Voibur (Test CC : marge d'erreur de 2 ) Mais sa côte de maille encaisse le coups et lui coupe juste le souffle.
Le chef de la tribue orc est lui engagé dans un furieux combat avec celui qui te semble être le chef de l'escarmouche naine. Malgrès l'avantage de sa monture Le nain se défends bien et le tient en retraite.

Tu arrives enfin sur le lieux du combats.

HRPG : Si les indications des jets de dès te gènes je peux arrêter.

je cours au secours de mon fier et brave compagnon qui s'est pris une hache dans le torse, tout en sortant mes propres armes pour déglingue ses saletés de nains. de plus énerver par cette arrivée et cette audace de nain qui arrive sur notre caravane j'aissaie de rentrer dans une furie qui pourrait sans problème régler cette affaire rapidement et dans le sang. pour plus de sécurité je lance mon bouclier (note pas sur les nains ) à terre pour ne pas qu'il me gène et tans pis si j' m'en prend plein dans la face jss un orc j'ai l'habitude.

hrpg: rien a faire de tes truc de couleur bleu moi tans qu'il y a de la castagne, de la marave, des mandales a donner jss content donc tu peut continuer.

néanmoins j'aimerais que tu mettes un code de couleur et une legende comme le vert pour les paroles retranscrites en sous titré pour ce qui ne comprenne pas la langue. voila

Tu cours pour porter main forte à l'orc nommé Voibur. Celui ci a du mal à ce remettre du choc reçu à la poitrine. Alors que le nain lève sa hache pour l'achever, tu arrives et lui assènes un coup de marteaux dans le bras gauche, tu peux entendre un craquement sourd lors de l'impacte (8 dégâts dans le bras, membres lourdement handicapé.). Le nain pousse alors un cris de douleur et de rage avant de se remettre péniblement en position d'attaque. Pendant ce temps, tu aperçois l'orc nommé Gerrac donner un puissant coups de marteau qui brise les cervicales des son adversaires (20 dégâts dans la tête) qui tombe raide mort. Le troisième nain vient de donner un coups de hache dans les jambes du cheval qui tombe en hennissant, son cavalier est propulsé à terre.

alors que je vois mon frère d'arme tomber de son cheval, je reçois un rude choc qui me trouble et je commence alors à me poser des questions; soudain j'entends un craquement sinistre et une voix qui fit résonner en moi toute ma force et mon courage:

" mort à toi pourriture de nain "
( réussite critique avec une marge de +25 en traduction grâce à ma nouvelle live box )

suite à cette remise à niveau de mes compétences de guerrier orc je comprends que pour sauver mes compagnons je devais d'agir vite, et ainsi j'attaque ce nain qui me dérange en essayant de tuer mon frère en lui assenant un coup latéral partant de la gauche pour être sur de me débarrasser de son bras droit et de son odeur épouvantable de bière naine ainsi que de sueur.


bilan général du guerrier orc :(qui inclut du HRPG mais qui reste centré sur mes pensées)

j'entends bien me débarrasser de cette saleté de nain en lui explosant le bras droit pour qui puisse plus bouger ses membres et pour pouvoir l'interroger après et si il répond pas j'lui éclaterais les pieds puis les genoux pour arriver a un bon coup sur le crane, tout en passant par les mains et les coudes, flute j'ai oublier de demandé des clous au MJ dans ma fiche de perso, on aurait pus se marrer à le clouer à une croix et à le laisser crever comme ça (çà me rappelle quelque chose mais jsais plus quoi) bon et puis tans pis, sinon j'ai bien aimer le bruit des cervicales de l'autre naze et en plus sur ce post j'ai réussit un reussite critique grâce à ma live box ... qui aurait pus croire ça )

Alors que tu médites sur la façons de terrasser ce nain, celui-ci pris d'un hélant héroïque (ou désespéré) brandit sa hache de sa seul main valide et passe à l'attaque. Le lourd handicape de ton adversaire te permet d'éviter cette ultime attaque. Profitant de cette avantage, tu lui donne un puissant coup dans le bras qui n'est plus qu'un amas de chaire ensanglanté. Le nain est projeté au sol inconscient. Le dernier se retrouve en prise avec les 3 orcs et toi même. Il fait tournoyer sa hache pour vous tenir à l'écart.

Le chef des orcs prend alors la parols :
"Rend toi nain. Tu est perdus."

"Un nain ne se rends pas peau verte, et si je peux emporter avec moi dans la morts une monstruosité je mourrai avec l'honneur des mes ancêtres."

"que la malédiction du grand walrock plane sur toi et te fasse pourrir la langue nain "

après cette unique phrase, je pensé lui faire peur mais visiblement, il continua a faire tourner sa hache et mon chef s'impatienta alors:

" même sans ton consentement tu devras le respect a mon chef et tu te rendras "

de cette phrase j'entends par la suite lui explosait les genoux (proprement quand même ) avec mon marteaux, je tente donc de me baisser et de lui assener un coup violent dans les genoux pour le lui casser et l'obliger à se baisser.


bilan:

j'ai pas trop réussi le coup du "jte pourri ton bras pour que tu puisse plus bouger " on va voir ce que sa va donner, par contre jtrouve trop mon idée classe d'exploser les genoux de l'autre soive de nain ça peut être méga classe mais faut que ça marche parce que sa hache a l'air bien tranchante donc ca peut etre dangereux mais bon ...

Avant que tu ne tente quoi que se soit, une détonation se fait entendre au loin. Une seconde plus tard le nain tombe à terre le dos transpercer par un projectile rapide. Une deuxième détonation détonation se fait entendre, Le chef de la caravane tombe a genoux, le bras en sang. Ses compagnons semble pris de panique e ne savent pas comment réagir.

me sachant menacer je me lance dans le bas coter de la route dans l'espoir de passer inaperçu et de rétablir la situation pour se faire je tente de savoir de quel partie du chemin le coup de feu est partis.

bulletin cérébral:
et merde le chef est touché,c ugluck, mais bon faudra faire avec, en plus j'ai pas vus la saleté qu'a fait çà,mais c'est pas grave je vais bien trouver. tiens le nain et mort, tans pis ...

Tu observe la scène de ta cachette, les deux soldats et les membres de la caravane n'ont pas eu la présence de se mettre à couvert et laisse la panique prendre le dessus. Une vague de détonation se fait entendre, les deux soldats tombe a terre ainsi que 5 membres de la caravane.
Un des orcs crie a ses compagnons.
"PLANQUEZ VOUS !"
La réaction ne se fait pas attendre, tout le monde cherche a se cacher dans le panique.

toujours confiant je cherche a déterminé de ou est embusquer le tireur pour l'élimine et ainsi pouvoir repartir tranquillement.la situation devient critique et les pertes des hommes et grandes ainsi, pour m'aider, je crie a quelque orc de rechercher activement le tireur et de le dire pour le tuer.

"toi la bas, et tes potes, chercher ste fumier qui fait ca et dite le quand vous l'aurez trouver, on va lui faire ça fête"

bulletin général:
c'est vraiment la galère, gluck , y'a trop de mecs qui sont mort, en plus jpense qui sont plusieurs ses grumucks, mais bon c'est pas grave on va les avoir.

(*grumuck=du mot orc grum(verbe du 2eme groupe, pourir ) siginfiant pourriture et employé généralement dans les situation critique contre autrui qui ne fait pas parti de son clan )

Pendant plusieurs minutes tu n'entends rien d'autre sur le bruits des insectes et des hautes herbes soufflé par le vents. Tu aperçois alors un vieil orcs t'indiquant du doigts une direction. En regardant dans cette même direction, tu peux distinguer, en bats de la vallée, un minimum de quatre silhouettes qui pénètrent dans la grande forêt d'Al'braste. Peu à peu, chacun sort de sa cachette vient prêter main forte au blessé.

prenant mon courage et mon marteau a deux mains, je désigne une demi douzaine d'orcs pour qu'ils partent avec moi à la poursuite des tireurs,

"toi las bas , et toi aussi avec toi et tes potes, shmaloko, vous venez avec moi, on va se les faire ses tireur qui sont lâches et qui tirent à distance;
et ne trainé pas si vous voulez qu'on se les fasse "

bulletin general:
et bien si un jour on m'avait dit que j'irais tuer des tireurs planqués qui se cachent en foret, j'aurais été content, bon à priori le chef il va pas très bien mais bon ça iras.
bon aller c'est pas le tous mais faut qu'on se bouge un peu...

Les vieillards auquel tu t'adresses te regardent d'un aires interrogateurs. L'un d'eux s'approche en s'appuyant sur sa canne. Il prend alors la paroles.

"Jeunes guerriers insouciant, Tu ne voit pas dans quel état nous sommes. Pourquoi aller combattre des nains alors que notre chef et les meilleurs guerriers de notre tribus sont blessé. Par Walrock nous nous vengerons de ces pourritures l'heure venu mais pour le moment il faut mieux s'occuper de nos frère."

Sur ces mots, il se retourne vers le chef et l'aide à se relever. Celui-ci se dresse péniblement sur ses jambes et s'appuie sur le vieillard tout en gardant une main sur sont épaule blessé.

"Sa ira Guurk. Guerrier, m'a tribu et moi même nous te devons la vie. Je m'appelle Erugor, je suis le chef de la tribu BlackVorg. Comme chaque années nous nous rendons à Walrock en passant par votre village. C'est ton chef qui t'as envoyé?"

en m'inclinant respectueusement devant ce chef de tribu je lui expliqua mon cas

"salut à toi, brave chef de tribu, je fais parti d’un petit village d’orc et j'ai surveillé l’arrivée de votre convois pour avoir des nouvelles des autres tribus lorsque j'ai vus les trois nabots vous attaquer , malheureusement j’ai rien pus faire pour les tireurs nain et j’ai rien pus faire non plus pour vous protéger."

"Me permettez vous d’aller chercher le chef de mon village pour qu'il puisse parlementer avec vous et que vous puissiez lui apporter les nouvelles des autres tribus"

bulletin général:
la classe le chef me parle et me félicite
bon aller faut que j'aille chercher mon chef moi.

Celui-ci, toujours appuyé sur l'épaule du vieillard, t'observe d'un regards amusé.

"Haha ! et pour quoi aurais tu besoin de ma permission. Oublie les formules de politesses avec moi, je n'aime pas sa, nous somme tous frère a près tout. Mais puisque tu le propose je veux bien que tu ailles chercher ton chef, sa fait longtemps que je ne l'ai pas vue ARG ! ... "

Sur un surplus de douleur, il tombe a genoux la main sur sa plaie. Tu peux apercevoir les gouttes de sueurs perlaient sur sont front. Alors que ses les autres se réunissent autours de lui, il réponds : "Ce n'est rien, ne vous inquiétez pas, je vais bien

Il tente de se relever péniblement.

comprenant que se chef née aller peut être mourir je partie en courant vers mon village dans le but d'avertir mon chef l'arrivée imminente d'un autre chef de tribut et qu'il été blesse et qu'il devrait recevoir des soins dans la plus grande urgente, malheureusement je ne croyait pas qu'il puisse y avoir un quelconque soigneur dans mon village et si il était encore disponible.

repérant la hutte de mon chef je me précipitais à l'entrée et je frappais à la porte de cette demeure

bulletin general:

j'espère vraiment que le chef ne soit pas mort et q'un maitre soigneur pourra lui administre des soins...

Alors que je rentre dans sa hutte , je me rappelle soudain les raisons de ma venue si brusque:

" Ah, chef Tarkorg, on peut dire que vous tomber bien. Il faut absolument qu'un soigneur aille aider un chef des tributs nomades ."

C'est alors que je tendis le bras vers la route avec mon marteau ensanglanté par le sang des nains.


"Là-bas sur la route, des nains ont pris en embuscade tout un groupe de nomade. Leur chef a été blessé, il prêtant ne rien avoir, mais on ne sait jamais, trois nains ont attaqués par le coté pendant que d'autres se préparaient pour tirés. On a réussit à tuer les guerriers malheureusement on a rien pus faire contre les tireurs, ils ont réussit à s'échappaient par la foret."

Tout en lui relatant la mésaventure, j’essayais de me calmer et de nettoyer mon marteau.

Prenant cet objet avec le plus grand soin, je le passe à mon
poignet gauche avec la plus grande délicatesse puis dans un signe de respect adresser
à mon chef je lui réponds :





"Merci à vous grand maître de notre glorieuse tribut, j’essayerai
de m’en rendre digne par mes faits d’armes que j’accomplirai pour la gloire de
la tribu maintenant il me faut aller aider les rescapées de l’affrontement,
merci pour le renseignement concernant l’emplacement de la tente de Zerkreg notre
guérisseur."





Après une brève révérence vers mon maître, je part vers le
nord pour trouver la tente du guérisseur Zerkreg et surtout pour lui demandait de l’aide.